Le 4 juillet 2025
Enfin une vraie séance SM à nouveau
Le vendredi 4 juillet, l'esclave fut autorisé à rendre visite à son Maître à Heule pour une nouvelle séance. L'heure de début fut modifiée en cours de journée, mais cette fois, la séance put avoir lieu. Vers 14 h 30, l'esclave commença les derniers préparatifs. L'esclave était très excité lorsqu'il sonna à la porte du Maître.
L'accueil se déroula comme d'habitude : l'esclave fut priée de retirer tout son équipement, y compris son anneau pénien, laissant l'esclave entièrement nue à la disposition du Maître. Avant le début de la séance, le Maître prit plusieurs photos des piercings et des tatouages de l'esclave…
On offrit à l'esclave un verre et on le pria de s'asseoir sur le canapé à côté du Maître. Pendant la conversation, le Maître essaya de jauger son enthousiasme, qui devint rapidement évident lorsque l'esclave renifla avidement son poppers et posa sa main sur son entrejambe. L'esclave se pencha, prit la bite de son Maître entièrement dans sa bouche et commença à la sucer. La position depuis le canapé étant inconfortable, l'esclave s'agenouilla et se glissa entre les jambes de son Maître pour mieux sucer sa bite et laisser le Maître profiter de sa succion. Une fois la bite du Maître fièrement dressée, l'esclave fut envoyé à l'atelier et dut s'asseoir sur le lit, allongé sur le dos, prêt à être attaché. D'abord, l'esclave fut autorisé à renifler profondément son poppers, que le Maître rangea ensuite.
L'esclave était solidement attaché par le Maître : ses bras étaient d'abord attachés, puis ses jambes étaient fermement écartées, de sorte que ses couilles et son sexe soient facilement accessibles au Maître. Un collier était également placé sur l'esclave, et enfin, un bandeau sur les yeux était placé sur ses yeux. En guise d'échauffement, le Maître lui donnait une fessée sur les couilles, le sexe, les cuisses, les seins et le haut des bras de sa main ouverte. Si l'esclave ne l'avait pas encore remarqué, il savait maintenant que la séance avait bel et bien commencé !
Mais d'abord, on a permis à l'esclave de bien renifler le poppers, et ça a failli mal tourner : du liquide a atterri dans sa bouche. Heureusement, il n'a pas avalé et le liquide a pu s'écouler. On lui a immédiatement donné de l'eau à boire, et après quelques minutes, il était prêt à être à nouveau maltraité.
Le Maître rampa entre les jambes de l'esclave et lui saisit fermement les testicules. Il prit une corde et les attacha fermement, serrant la corde et la fixant au collier . Les testicules étaient alors exposées, prêtes pour le Maître, qui n'hésita pas à les manipuler avec le bâton, mais aussi sur les cuisses, les pieds, les bras, les seins et tout le corps de l'esclave. Le Maître prit son temps pour manipuler le corps de l'esclave ; celui-ci le sentait brûler. Le Maître ne prêta pas attention aux gémissements de l'esclave, et après une pause, l'esclave reprit son souffle, il termina par quelques tapes fermes sur la plante des pieds. Après cela, le Maître massa brièvement les pieds, puis commença à chatouiller les plantes ! L'esclave étant très sensible aux chatouilles, surtout la plante des pieds, l'esclave se mit bientôt à se tordre et à gémir bruyamment ! Après quelques tapes vigoureuses sur les cuisses de l'esclave, le Maître s'arrêta et le laissa reprendre son souffle et sniffer quelques poppers.
Un nouvel objet fut sorti du placard, et l'esclave sentit immédiatement le moulinet être testé sur sa queue tendue : d'abord sur la verge, puis sur le gland. Les testicules furent également travaillés avec le moulinet, et enfin, le Maître enfonça le moulinet profondément entre les jambes de l'esclave, juste en dessous des testicules. Le Maître apprécia visiblement le travail du moulinet et prit son temps pour travailler le sexe, les testicules, les zones sensibles du sexe et les testicules. Entre-temps, le Maître travailla également sur les tétons et leur zone environnante, l'abdomen, les cuisses et les bras.
Il était temps d'intensifier la douleur, pensa le Maître : le moulinet fut mis de côté et il massa les tétons de l'esclave en tirant fort sur les piercings ! Puis, d'abord à droite, puis à gauche, une paire de pinces fut placée sur les tétons. L'esclave ne les avait pas encore utilisées, et la douleur le frappait violemment… Puis le Maître fit à nouveau sniffer l'esclave, et la douleur s'apaisa un peu ! Il ajouta donc quelques pinces : d'abord à gauche, puis à droite. Après avoir agité légèrement les pinces et fait gémir l'esclave à nouveau, le Maître reprit les rênes pour le manipuler une fois de plus ! Le Maître attacha ensuite les piercings avec une corde et les fixa au collier après avoir tendu la corde.
Il était temps de passer à autre chose, et l'esclave fut prié d'ouvrir la bouche. Le Maître lui enfonça un embout buccal. Comme l'esclave résistait, le Maître lui enfonça une pince à linge dans le nez, le forçant à garder la bouche ouverte. Une bite fut introduite dans l'ouverture, et la bouche de l'esclave fut ainsi baisée. Jusqu'à ce que l'esclave s'étouffe, le Maître se retira et palpa l'ouverture avec un doigt, puis deux, puis trois. L' esclave continua à doigter un moment, puis la bite fut à nouveau enfoncée dans sa bouche.
Le Maître recula et se concentra sur le scrotum et le sexe de l'esclave ! D'abord, les testicules et le sexe furent à nouveau enrobés de pâte, puis le tout fut pétri d'une main ferme, et enfin, l'esclave sentit des pinces sur son scrotum et son sexe. Non pas une, mais plusieurs pinces furent placées sur le scrotum et sur les zones sensibles du scrotum et du sexe. Pour finir, toutes les pinces furent fermement enfoncées. Il joua également avec les pinces, passant ses mains dessus et les faisant remuer vigoureusement sur le scrotum, le sexe et les tétons ! Puis le Maître commença le « démontage », et l'esclave put également savourer la douleur lorsque les pinces furent retirées et que le sang recommença à couler.
C'était clair pour l'esclave : il aimait la douleur et en voulait davantage ! Merci, Maître !
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